2 éléments semblent avoir retenu l’attention des marchés au cours de ce 1er semestre : le premier est le fait qu’un large consensus ne se fait plus d’illusion quant à la reprise à court terme de l’économie européenne, le second plus récent est le fait que la politique de « quantitative easing » lancée par la Fed touche à sa fin.

Nous avons toutefois observé un mois de mai exceptionnel avec le retour sur les 4 000 points pour le CAC 40, ce qui n’était pas arrivée depuis 2 ans. Cette brusque remontée des indices, avant la correction de juin, pouvait être justifiée par le fait que les actions présentent un rendement nettement plus attrayant que les obligations. Il y a donc eu une sorte de retour sur les marchés dits à risque mais toujours dans des volumes en retrait.

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